Fiche de personnage

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Informations

Nom : Montesquieu, parfois Mnémo. Il ne semble pas comprendre et répondre aux abréviations comme Mont ou Monty. Il tourne cependant la tête en entendant le prénom « Charles », une terreur fauve dans le regard.

Âge : 24 ans, peut-être ? Montesquieu hausse les épaules lorsqu'on lui demande.

Origine : Montesquieu est un menteur ; personne ne sait d'où il vient. Pour certains, il a grandi à Castelblanc, issu d'une noble famille de marchands. Pour d'autres, il est né Mansois d'un père forgeron.

Voie lunaire : Le Brasier

Occupation : Herboriste/Apothicaire/Cueilleur. Montesquieu connaît la flore de Cathan comme sa poche. Aromates pour la cuisine, champignons toxiques ou comestibles, mousses antiseptiques ou urticantes, il en cueille un paquet tous les jours. Il s'y connaît autant en remèdes qu'en poisons et s'occupe même d'approvisionner (cueillir, laver et sécher) la majeure partie du tabac consommée par la Compagnie.

Situation : Conscrit depuis un peu plus de deux ans. Certains se souviennent peut-être de l'état déplorable dans lequel il s'est présenté à la Compagnie : boueux jusqu'aux genoux, amoché et amaigri, aux portes de la mort. Il était pas beau à voir, le petit Montesquieu, ça non.

Personnalité : Chaotique, nerveux et immature, comme un enfant coincé dans un corps trop vite grandi. Solitaire, lunatique et maladroit, comme un vieil ermite un peu cinglé, avec ses plantes et ses fleurs, ses insectes rampant et sa poule Dorothée. Il est sporadique, tantôt méticuleux, tantôt agité et surtout, très difficile à suivre.
Montesquieu ment comme il respire, surtout lorsqu'il s'agit de ses origines, mais contrastera d'une franchise acerbe et difficile à avaler si on lui cherche des noises : « Casse-toi avec tes dents d'âne ». Ça le fait rire de remettre quelqu'un à sa place, avec ce genre d'insultes qui ne valent pas deux écus, mais on sait bien que chien qui jappe ne mord pas.
Parce qu'il est bruyant et bavard, aussi envahissant qu'une fougère pour ne pas dire expansif, et ne semble pas remarquer lorsqu'il dérange ou lorsque sa présence est indésirée. D'ailleurs, si on essaie de lui fait comprendre même gentiment, il s'insurgera comme une prude et se gonflera d'égo avant de vous invectiver.
Montesquieu est une peste, certes, mais détrompez-vous : il n'est ni méchant ni cruel. C'est une langue de vipère, une « langue de belle-mère », sansevière, quelques fois mal intentionné, mais jamais sans raison. Il est vulgaire et se moque des autres autant qu'il se moque de lui, et moins on l'étouffe, plus il est heureux.

Détails en rafale:

Anecdotes

« J'vais l'appeler Dorothée, je crois… T'as vu sa tête un peu ! » se moqua Montesquieu en agitant le gros corps rond d'une poule rousse et duveteuse qu'il tenait sous son bras. Malgré les secousses, la tête de la volaille aveuglée par un bouquet glorieux de plumes hirsutes conserva une stabilité indifférente ; elle ne caquetta même pas. « Tu trouves pas, on dirait... » – et il se pencha vers le soldat qui l'avait accosté pour lui chuchoter à l'oreille : « On dirait un peu une vieille bite molle, son cou... » Montesquieu éclata de rire en s'écartant de lui. Juste avant de poursuivre sa route vers le cœur du campement, il menaça l'homme de sa poule une dernière fois, d'un mouvement brusque pour le surprendre, comme s'il devait la retenir de mordre. « Wouf ! »

« Parfois… on sais pas dire si t'es un gosse braillard, un blanc-bec qui défie l'autorité et n'arrête pas de prendre des mauvaises décisions parce qu'il trouve ça drôle, ou un vieux con toujours fatigué qui pense qu'à faire la sieste. » Particulièrement ivre ce soir-là, Montesquieu pouffa de rire en répondant de but en blanc, d'une articulation mélasseuse : « T'veux m'donner le sein, mommy ? Ou une fessée ? » Son sourire malicieux et sa moue provocante de petite peste s'effaçèrent aussitôt, comme si un fantôme ou un souvenir amer lui traversait l'esprit. Soudainement lourde, il laissa tomber sa tête sur son épaule relevée, donnant à la posture de son dos déjà vautré un désaxement des plus sinistre. Il releva les yeux vers le mercenaire qui l'avait nargué et le dévisagea longuement. Les flammes dans la nuit donnaient à son visage blafard un air d'autant plus inquiétant qu'il arborait déjà un coquard bien violet. « Tu peux aussi fermer ta gueule et garder tes analyses à la con pour le prochain. » Montesquieu termina sa choppe cul sec avant de ramasser Dorothée, silencieuse et lovée contre sa cuisse, puis se leva en titubant. Il tanga quelques secondes en fouillant dans sa poche, puis en extirpa une petite poignée d'écus qu'il jeta avec dédain aux pieds de l'homme. « Pour vos services, sieur » pesta Montesquieu d'un haut-le-coeur sonore et dégoûtant, s'inclinant en même temps pour révérer le soldat éhontément. « Cot » Aussitôt, il tourna les talons et s'éloigna en dérapant dans l'épaisse couche de sable répandue tout autour du feu, vers une table bruyante non loin. « Heeeey ! Il reste à boire ?! » On l'accueillit – ou plutôt sa poule – d'une certaine chaleur, et Dorothée attira suffisamment l'attention de la tablée pour que Montesquieu leur raffle une choppe sous le nez.

Concentré devant une armoire en pin, aux dizaines de petits tiroirs identifiés de symboles étranges, Montesquieu fronça les sourcils. Il se sentait soudainement épié, lui si glorieusement enveloppé dans une épaisse couverture en laine, et un froissement derrière lui, puis des gloussements et des bruits de pas, confirmèrent qu'on s'était introduit dans sa tente. Il eut à peine le temps de se retourner pour apercevoir deux petites têtes hautes comme trois pommes sortir en courant. « Hey ! Hey ! » Il était tôt, le soleil se levait encore, et Montesquieu n'avait pas encore terminé son thé aux feuilles d'absinthe qu'il dût s'élancer à grandes enjambées derrière les chapardeurs en s'écriant d'une voix enrouée : « Hrrrrreeeeyrrr ! » Évidemment, il ne rattrapa les deux mioches qu'à bout de souffle, lorsqu'ils consentirent à se réfugier dans les jupes d'une adulte – peut-être leur mère vu la ressemblance. « Mais ça va pas, là-dedans ?! » aboya-t-il en ignorant la femme qui les protégeait du fou furieux qu'il donnait l'impression d'être, d'autant plus que dans sa course il avait perdu son duvet et s'exhibait en sous-vêtements, sans la moindre gêne, devant tout les lève-tôt qui se tournère pour observer la scène. « Tes mioches-là, ils m'ont – » Montesquieu déglutit difficilement, le souffle court, puis : « j'sais pas quoi, ffu, ils m'ont pris un truc, mais… ffu, j'sais pas quoi, et c'est p't'être dang'reux. » La femme le dévisagea longuement avant de se tourner vers les deux enfants qui cachaient quelque chose derrière leur dos. Elle les interrogea, puis s'abaissa à leur niveau pour les encourager à s'avancer vers Montesquieu et lui rendre ce qu'ils avaient volé. Les deux enfants ouvrirent leur paume en même temps : « Aaah… juste ça... » Il ricanna, soulagé de voir deux petits cubes de miel séché. « Ça va alors... » Montesquieu retourna son attention vers la jeune mère embarrassée qui commençait à s'excuser. Elle essayait de lui expliquer que les enfants faisaient souvent ce genre de bêtises, qu'il ne fallait pas leur en vouloir, qu'ils ne pensaient pas toujours avant d'agir et lui promettait de les surveiller à l'avenir. « Tsss… » roula-t-il des yeux, imperméable. Il n'avait ni la volonté ni le courage d'expliquer à cette imbécile toutes les variétés de champignons et de plantes toxiques qu'il entreposait dans sa tente. « Estime-toi heureuse qu'ils soient pas en train d'chier leur tripes sous ta robe. J'ai des trucs assez forts pour tuer un cheval. » Il l'interrompit sèchement, puis s'accroupit à la hauteur des enfants en agitant un doigt moralisateur : « Ça va pour cette fois, hein ! Mais la prochaine fois, faut venir me demander avant ! Et on fera chauffer un peu de lait, aussi. D'accord ? » Les deux gamins n'avaient pas l'air très allumés, un peu idiots même, mais Montesquieu se garda de le dire à voix haute et s'en retourna vers sa tente, non sans récupérer sa couverture en chemin.

Liens :

Avec Fol-Oisel. Quel drôle d'oiseau, s'était dit Montesquieu – qui ne s'y connaissait pourtant pas en volatiles. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il allait à sa rencontre, ce Fol-Oisel. Quel drôle de nom aussi. Il était armé d'une pomme comme petit encas et d'une Dorothée locasse sous le bras lorsqu'il trouva l'homme. « Cot cot, cot cot. » Le dénommé s'occupait d'un cheval, agenouillé à ses sabots, et Montesquieu trouva judicieux – absoluement pas envahissant et bien élevé – de s'introduire en déposant Dorothée sur la selle tout juste cirée de sa monture. « Y paraît qu'tu connais ça, les piafs ? » Montesquieu commençait déjà à découper sa pomme, portant les tranches à ses lèvres avec la lame du couteau. « J'l'ai gagnée aux cartes, près de Mansé, et j'sais pas trop quoi en faire ou ce qu'elle mange. » Fol-Oisel l'accueillit d'abord comme tout le monde accueillait ses mauvaises manières : en hésitant, en le dévisageant, mais bien vite celui-ci se releva pour caresser sa poule et l'ausculter sommairement. « Dorothée, elle s'appelle. Comme ma belle-mère », mentit-il. Montesquieu écouta ses premiers conseils timides en mastiquant lentement, déconcentré par la chevelure indomptable de Fol-Oisel, virevoltant dans tous les sens chaque fois qu'un peu de vent y soufflait. Il ne pouvait s'empêcher de suivre des yeux la main qui, chaque fois, tentait de les repeigner convenablement. « Huhun... » acquiesçait Montesquieu de temps à autres, pour faire bonne mesure ou semblant qu'il comprenait. « P't'être un p'tit enclos, ouais. Après la nuit, j'sais pas si j'aurais pas peur qu'elle se fasse choper par un renard... Ou alors j'la rentre dans la tente pour dormir, ouais, pas con, pas con. » Leur échange fut bref, quelques minutes à peine, et Montesquieu était reparti d'où il était venu, non sans le remercier et le saluer d'abord – deux choses qu'il faisait rarement. Depuis, parmi toutes les têtes qu'il pouvait appercevoir en survolant des yeux la Compagnie, la sienne, ou du moins sa crinière fauve, s'extriquait de la masse.

Avec Drathir. C'était calme, c'était paisible, avec un peu de vin autour du feu. « T'en veux ? » lui avait proposé Montesquieu, en tendant une cigarette qu'il venait tout juste de rouler et dans laquelle il avait égrainé un peu de datura. Juste un brin, presque rien, juste assez – c'était-il dit – pour se détendre et rigoler un peu. Pensa-t-il, innocemment, en la regarder allumer la cigarette. Sourit-il, de bonne foi, en la voyant inhaler. « La bleue ! » s'était-il moqué en l'observant dériver doucement au large de contrées nébuleuses. D'abord elle riait avec lui, mais bien vite elle s'agita d'une énergie à tel point décousue que Montesquieu se sentit obligé de la poursuivre à travers le campement. « Noooon, elle va bien, t'inquiète ! » Il rassurait les spectateurs inquiets au passage, supportant sur son épaule une Drathir complètement défoncée qui lui fouettait le visage de sa tignasse blonde dès qu'elle changeait de cap ; tantôt vers la gauche pour chaparder une nouvelle bière qu'elle renversait à moitié sur elle, tantôt à droite pour accueillir quelqu'un d'une accolade bien trop affectueuse. Montesquieu parvint néanmoins, après plus d'une heure à parader derrière elle comme un guignol, à raccompagner Drathir jusqu'à sa tente : juste à temps pour qu'elle rende son repas à quelques pas de l'entrée. « Manquait plus qu'ça, tiens... » Il s'était toutefois accroupit pour lui tenir les cheveux et l'écouta délirer en acquiesçant de temps à autres, comme s'il comprenait quoique ce soit à ce qu'elle était en train de lui raconter. Lorsque Drathir rampa à l'intérieur de sa tente sans demander ses restes, sans même un aurevoir, en grognant d'inconfort, Montesquieu se releva en soupirant. Il ne la connaissait que de nom et de réputation, Drathir la siffleuse, et il avait tout à parier qu'elle lui revaudrait ça. Dès le lendemain, sans doute. Il se préparait déjà mentalement : « Mais j't'ai jamais tordu le bras, oh ! » s'imaginait-il lui répondre, ou : « Mais, ma belle, faut pas mettre n'importe quoi dans sa bouche... » Il était dans de beaux draps, tiens.

Hors-jeu

Infos membre : Monomer, 30 ans depuis 3 années consécutives. C'est ma première fois (je suis toute pucelle, oulalah ) sur un forum d'avatars réels, soyez doux et tendres.

FC : Yuri Pleskun

Ici vos commentaires : ce que vous recherchez, vos interrogations, etc... La communauté s'efforcera de répondre à tout ce qui vous tracasse!

Dorothée la meilleure poule ever (si elle essaie de squatter la volière des rapaces ça va être funky tiens)
Je suis trop fan de ce personnage, il est tellement chaotique (et il a l'air de cacher pas mal de blessures, c'est si intriguant gfhsofqsdjp de mon côté ça cogite j'essaie de nous trouver un lien )

Dorothée !
Est ce que Dra serait intéressée par des poisons à enduire sur les flèches ou ses lames ? Yes. Est-elle sûre qu'approcher Montesquieu est une bonne idée ? NOT REALLY. Sûrement qu'elle ferait ça rapidement, si elle le sent dans un bon jour et se casserait vite ensuite -meurs- Trop de risques qu'il soit une plaie à suivre/comprendre

Drathir la siffleuse a écrit:Vulgaire, ironique et provocante, elle aime faire du bruit lorsqu’elle passe quelque part (offrant un contraste saisissant avec son attitude et son rôle en mission) et tolère difficilement qu’on lui manque de respect.

C'est dommage, on se rejoint bien là-dessus. Surtout le côté vulgaire et provocant.

[j'ai pas pu m'empêcher] [PROVOCANTE]

Breeeef. Je suis pas contre l'idée pour fournir les poisons, faut juste s'avoir l'aborder le petit merdeux. Vue la personnalité de Drathir y'a de bonnes chances que ça fasse des flammèches dans tous les cas (et je suis pas tout à fait contre fufu). Montesquieu a pas vraiment "de meilleurs jours" : il est sobre ou pas, et s'il l'est pas il peut être particulièrement détestable.

spoileur de la honte:

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Fol-Oisel a écrit:Dorothée la meilleure poule ever (si elle essaie de squatter la volière des rapaces ça va être funky tiens)

Voui, Montesquieu sera joué exprès pour pas qu'on sache d'où il vient, parce que OF COURSE c'est deeply dark and twisted and horrible. [et je viens d'aller lire ta fiche, faut qu'on S'PARLE]

Bon, bah merci pour le spoiler de la honte, je l'ai déjà en sign
Et bah à voir sur le tas alors 8D J'pense pas qu'elle aurait toujours la patience de traiter avec lui, ni les nerfs (surtout en ce moment, le contrat du jour doit vraiment pas la rendre bien jouasse) mais elle essayera en cas de nécessité absolue /PAN/

Il a l'air complétement délirant comme personnage et pourtant y a ce côté très sensible et effrayé qui lui donne un côté tellement touchant. J'ai vraiment hâte de voir comment il va se dépatouiller au sein de la Compagnie.

Quant au fait de dire bonjour soleil aux bestioles, qu'il fasse attention à ce que personne ne lui trébuche dessus.
Par contre, si jamais il entend des choses intéressantes, on peut en discuter autour d'un feu, Dorothée, une bouteille de vin et Murmure (Même, si, malheureusement, c'est un homme)

Hahaha Dorothée Présidente ! J'ai adoré lire ce début de fiche, ça m'a bien fait rire, mais je sens que le reste va jouer avec les feels...  Si jamais Montesquieu à besoin d'une baby sitter pour sa Poule : Nywoe adore les animaux et se fera un plaisir de la garder au chaud dans la forge près d'elle au besoin

Bien sûr, tout ce que je dis est juste des suggestions hein, tout peut être changer, je ne veux pas trop m'avancer

LE FAMEUX (et la fameuse poulette)

Je suis vraiment contente de te voir tenter le coup parmi nous J'espère que t'as arrêté de te mettre la pression et que tu sauras te plaire avec nous! Je t'adresse un merci tout particulier (encore) pour ce que tu as fais pour le forum et toute l'aide que tu m'as apporté. J'aurais pas rêvé meilleure collaboration et je suis fière du résultat

On a deux personnages opposés donc je sais pas comment ça pourrait coller MAIS, si Roy apprécie pas particulièrement les gamins aussi tumultueux que lui, il les rejette/déteste pas pour autant. Les rares fois où ils pourraient se croiser (en attendant avec leur gamelle vide par exemple) j'imagine que Roy serait du genre à essayer de le raisonner. Vu "l'amour" de Monte pour les hommes, pas dit qu'il apprécie les tentatives de "moral" qui lui ferait

*allez mon grand, y'a plein de gens, faut leur répondre*


@Murmure :
Par contre, si jamais il entend des choses intéressantes, on peut en discuter autour d'un feu, Dorothée, une bouteille de vin et Murmure
J'ai pas pu m'empêcher d'imaginer Dorothée sur une broche en train de cuire Faudrait voir s'il tolère les petites teignes comme Montesquieu, quoique posé autour d'un feu sans aucune raison de faire le pitre il doit être de moyennement bonne compagnie...

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@Magnus Creta : T'inquiète, j'apprécie quand même le petit mot. J'imagine mal Montesquieu aller de lui-même vers un alchimiste (pour un peu les même raisons que Fol-Oisel et Drathir, mais plutôt par haine de l'instrument utilisé à mauvais escient que des musiciens). Montesquieu a des runes gravées dans le bas du dos, qui sont parfois visibles parce qu'il s'en fout et si Magnus s'y connaît en la matière of corse qu'il saurait ce qu'elles veulent dire / et par extension avoir une idée de son secret.

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@Nywoe fille du Forgeron :
Je prends note pour Dorothée, tant d'amour pour cette poule, je vais être jaloux.
Elle n’aime pas les gens qui n’ont pas de manières d’une façon générale : les malpolis, les ignares, les cons en outre. Elle possède également une aversion pour ceux qui considèrent les êtres vivants comme des objets.
J'accroche surtout sur ce bout-là de ta fiche. Montesquieu est tellement dans son petit nombril qu'il a souvent tendance à traiter son entourage comme des figurants. En plus, il est malpoli et particulièrement vulgaire/hargneux lorsqu'on essaie de brimer sa liberté. Tout dépend de comment Nywoe pourrait tolérer ce genre de petit con.

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@Roy : Owhhhh, owhhhhh. *blush* T'es trop chou que je sais pas quoi dire (alors je vais juste mourir un peu en dedans, ohlala – moi, problème avec les compliments, mais noooooon)
J'imagine qu'il doit souvent s'attirer des remarques Montesquieu et je pense pas qu'il serait contre se faire remonter remontrancer par le beau Roy (cette crinière though). En plus si Monty a trop la dale il serait bien du genre à avancer vers la bouffe et acquiescer "ouais, ouais", sans vraiment écouter. Ou faire toute une scène si Roy l'aborde avec une main sur l'épaule pour attirer son attention

Montesquieu ! Voilà un camarade parfait pour faire les quatre cent coups. Qu'on me tranche la gorge si ce n'est pas le cas !

C'est bon la poulette.

L'avantage de Murmure c'est qu'il ne coupe pas la parole - ou alors de manière prolongée d'un coup dans la glotte.
Plus sérieusement, Jory est quelqu'un de patient et plutôt conciliant, tant que Monty ne met pas la vie d'autrui en danger de manière ostensible, il supporte tout à fait le bonhomme dans ses délires ; même si son auto-destruction le navre - son côté un peu papa, d'autant qu'il doit être un peu plus vieux que son aîné.e, donc projeter en lui un schéma un peu macabre d'une évolution possible.
De toute façon, des petites teignes, il en subit au quotidien, entre Violette et Drathir, les recrues qui se sentent plus pisser, celles qui ne veulent pas être là, ceux qui en chient pour les entrainements, ceux qui ne comprennent pas leurs échecs, ceux qui... Bref, Murmure il doit voir tout ce qu'il y a de teigneux lui passer sous le nez. Un de plus ou un de moins, ça doit à peine le faire ciller.

J'avoue que pouvoir dire dans un RP : elle est où la poulette...

Hahaha alors dans un premier temps elle lui répondrait sèchement pour lui faire comprendre de changer de ton puis après elle l'ignorerait juste et ne parlerait qu'avec Dorothée en disant qu'elle est meilleure que son maître ça pourrait être fun : avec des hauts et des bas. Mais elle va être fascinée par son savoir alors elle risque de faire des efforts juste pour en apprendre plus t'sais Puis elle se doute qu'elle doit être aimable avec lui si jamais un jour elle à besoin de plantes contre la douleur ou autre : c'est lui qui en délivre. Elle n'est pas folle

Voilà ce que j'ai rédigé nous concernant, sale petit con

Parfait petit con qui oscille entre une immaturité agaçante lorsqu’il a bu et un comportement purement abject lorsqu’il est sobre, Drathir a néanmoins conscience avoir utilité de ses compétences en herborisme, essentiellement pour ce qui touche à la création de poisons pour enduire ses lames et ses flèches. Si elle choisissait déjà avec soin ses moments pour aborder le jeune sot, c’est pire encore depuis qu’il lui a fait fumer elle ne sait trop quoi, la contraignant à passer la soirée la plus humiliante de sa carrière de mercenaire. Plus rancunière vis-à-vis de cet abus de sa confiance que vis-à-vis de la dégaine qu’elle a pu avoir ce soir-là, elle déteste désormais cordialement le Montesquieu et songe sincèrement à faire cuire à la broche sa fichue poule en guise de représailles. Pour l’heure, elle refuse surtout de toucher à quoi que ce soit qui provienne de ses prétendus camarades, dans le doute, et elle trucide du regard le jeune herboriste en attendant de trouver une occasion de lui faire payer ses audaces.

(genre tu peux pas me détester, j'ai fais de toi la plus belle souffleuse du forum)(et on touche pas à Dorothée, oh)
C'est paaaaarfait !
Si un jour tu veux le martyriser pour assouvir ta vengeance, aussi, je dis ça comme ça...

#staff
Je pense m'en tenir là pour ma fiche (j'espère qu'elle sera pas trop pénible à lire, ohlala) et pour les autres liens encore en attente, j'y réfléchis toujours de mon côté ! On continue de voir ça dans les prochains jours.

Tu sais quoi ? C'est super agréable de voir des personnages désagréables sans être foncièrement mauvais parce que ça leur donne un côté tout à fait réel et palpable, il y a vraiment ce côté humain qu'on a du mal à immédiatement appréhender parfois dans d'autres personnages. Je suis si curieuse d'apprendre réellement tout ce qui l'a poussé à être ce qu'il est, d'où viennent ses runes, où est-ce qu'il a appris tout ça. Et ! aussi, de voir comment il va évoluer - en bien ou en mal - au contact des autres personnages mais aussi du RP.

Tu connais la maison mais ! si ça te tente, de développer ton personnage, faire ta chronologie ou un moodboard, tu peux aller dans les carnets de bord ! Enfin, si tu cherches un compagnon pour RP ou que tu as une idée folle d'intrigue, n'hésite pas à aller faire un tour dans la recherche de partenaire !

Montesquieu a écrit:J'avais pensé à te proposer un petit quelque chose, mais tu m'as devancééééé (je sais plus où donner de la tête, y'a tellement de beaux personnages partout hiiiiiiiiii) !

Montesquieu ! Voilà un camarade parfait pour faire les quatre cent coups. Qu'on me tranche la gorge si ce n'est pas le cas !
Si y'a de l'alcool ! De base, Monty n'est pas très boute-en-train (et je pense qu'à jeun Aliénor pourrait vite lui tomber sur le sifflet, surtout s'il est concentré dans ses trucs), mais comme pote de beuveries, je dis pas. Et si elle vient l'aborder genre "coucou, on boit ?! o/" avec sa petite bouille toute choupi et malicieuse, en passant la tête dans sa tente les soirs où y'a déjà de l'ambiance au campement...


Après, va savoir si Aliénor saura l'endurer quand il commencera à être désagréable et désobligeant et méchant (c'est qu'il a l'alcool triste, le petit Montesquieu)...

Evidemment mon cher que vous serez à tout les coups l'un des grands invités à des moments de franche camaraderie. Mon voisin de tablé. Celui avec qui je partagerai tant ma cruche que peut être ma couche sans que nous pensions à un quelconque lendemain ni à des plans sur la comète. Fonder une famille et devenir la femme de quelqu'un... horreur enfer et damnation... Qu'en songez vous ? :)

Il cultive une haine pour les hommes, avec une telle véhémence qu'on pourrait presque oublier qu'il en est un lui-même. Ironique quand on sait – ou qu'on remarque – qu'il parvient parfois à en courtiser un, le temps d'une nuit.


Voui, voui, bien sûr.
Quoique, ça pourrait être drôle, comme malencontreux incident de parcours (rien qu'une fois au chalet, comme on dit chez moi). J'imagine parfaitement Montesquieu être promiscuous avec n'importe qui quand il est juste assez bourré.

Mais clair ! Je les vois trop se monter tous les deux la tête d'histoires et d'anecdotes inventées, avec une sorte de pari non-dit de celui qui sortira avec celle la plus wtf ou la plus drôle – genre de concours un peu débile des pires circonstances. Ou, même ! Les deux pourraient plus ou moins comprendre ce qu'ils font – c'est-à-dire s'inventer toutes sorte de vie pour ne pas parler d'eux – et se mettre d'accord pour corroborer l'un ou l'autre, s'ils parlent tous les deux avec quelqu'un d'autre. "Mais si si, c'est la Duchesse de Lisieux." devant un crédule qui avalerait tout de ce qu'ils lui raconte (en leur payant à boire, of course). "Même qu'elle a marié mon frère, Simon il s'appelait."

Et si la troubadour tâtonne un peu de la fumette... Montesquieu connait des bons coins pour récolter (demande à Drathir, elle en connaît quelque chose).

Cela vous sied mon bel ami ?

Montesquieu : S'il y a bel et bien une personne dans ce campement avec qui j'aime à donner mal au crâne aux gens c'est bien avec Montesquieu. Partenaire de mes moments de débauche et de ripaille. Que j'aime sa compagnie lorsque je pars boire et subir les regards outragés des tout venant lorsque j'approche des bord d'eaux où les femmes, et partout les hommes, de peu de vertu vont. A force de le travailler j'ai même fini par déterminer sa consommation maximal d'alcool avant qu'il devienne un briseur de couilles. S'il a mangé c'est XX pintes ou XX verres de vins. S'il n'a pas mangé on est plutôt sur YY pintes et YY verres de vins. Attention toutefois au spiritueux qui ont tendance à tronquer mes calculs savants. Il faut aussi prendre en considération le facteur sommeil qui est une variable assez importante dans tout ça. Enfin bref. Montesquieu, mon brave Montesquieu. Je sens qu'avec toi, on va en rendre chèvre plus d'un.