Fiche, anecdotes, chronologie & rp

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Fiche de présentation

Chronologie

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An 714 : Naissance.
An 734 : Quitte son village natal et franchit les montagnes en direction de Cathan. Passe près d’un an à enchaîner les petits boulots plus ou moins ingrats avant de devenir chasseuse d’artefacts dans un élan d’ambition, d’arrogance et de curiosité.
An 750 : Rencontre plus que désagréable avec des Vestiges surpuissants. L’un de ses comparses chasseurs n’aura d’ailleurs pas hésité à tenter de la sacrifier pour se dégager un accès vers la sortie et cette trahison, couplée au fait d’avoir frôlé la mort, poussera finalement Drathir à renoncer à cette vie.
An 751 : Rejoint la compagnie après un an de petits boulots, en quête d’une adrénaline un peu plus sûre à ses yeux.
An 754 • La forêt de Tollen : Drathir n’aura eu de cesse de faire la gueule tout le long du trajet jusqu’à la forêt. En tant qu’ancienne chasseuse d'artefacts, l’idée de retrouver des ruines (qui plus est que personne n’aura encore fouillé jusqu’alors) ne l’enchante pas le moins du monde et elle est plus que pessimiste concernant ce contrat. Sa tendance à préférer les scientifiques aux alchimistes s’effiloche également tant la troupe de chercheurs qui les a mandatés la fait grincer des dents. Elle a énormément de mal à voir ces petits intellos n’être qu’un condensé d’excitation alors que, de leur côté, les mercenaires vont sans nul doute essuyer des pertes pour leur permettre de trouver on ne sait quoi dans les ruines.
Malgré tout, une part d’elle n’en est pas moins foutrement curieuse et son arrogance la pousse surtout à être convaincue mieux savoir qu’autrui ce qui les attend, au point qu’il lui semble évident qu’elle se doit d’être là pour éviter à tout le monde de crever après avoir touché ce qu’il ne fallait pas.

Les rp

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En cours
1 ▬ Light in the dark feat Roy (flashback ; an 753)
2 ▬ Petit, petit, petit feat Fol-Oisel
3 ▬ Rentre à la maison feat Violette
4 ▬ Something good feat Feu follet
5 ▬ Alors en quoi consiste cette mission ? … Quête ? … Chose ? feat Nywoe


Terminés
Un jour peut-être.

Pistes de liens & liens

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• Drathir exècre l’alchimie et se méfie grandement des runes. Si elle ne sera pas agressive avec l’ensemble des personnes runées, elle sera au minimum extrêmement sensible aux changements d’humeur chez ses interlocuteurs, y voyant aisément le signe d’une rune déréglée (de quoi la pousser à s’éloigner le temps que la tempête passe) et elle préfère largement passer son temps avec des personnes ayant les mêmes opinions qu’elles.
• Elle oscille entre un respect de la hiérarchie et un instinct égoïste et solitaire qui la pousse parfois à prendre des décisions seule, voire une ambition qui lui fait croire être en mesure de diriger d’autres personnes en cas d’urgence. Si elle respecte les esprits stratégiques et les performances guerrières, elle a en revanche bien plus de mal avec l’autorité agressive et le fait d’être continuellement rabrouée (à tort ou à raison), ayant plutôt besoin qu’on respecte tant ses compétences que ses opinions.
• Ronchonne, vulgaire et provocante, Drathir n’en est pas moins serviable malgré ses plaintes et assez loyale. A moins d’avoir affaire au pire des cons et emmerdeurs, il y a peu de risques qu’elle abandonne un comparse dans le besoin, encore que rien n’est jamais gratuit et qu’elle troque ses services contre d’autres faveurs à l’avenir. Serviable mais pas conne non plus.
• Elle enseigne le tir à l’arc à l’occasion et s’avère être un professeur vulgaire, peu patient, intolérant face à l’insouciance ou les conneries. Entre elle et Violette, les apprentis ont de quoi apprendre à tenir leur langue ou juguler leurs nerfs, en plus de prier pour retrouver leur maître d’armes favori au plus vite.
• Sauf cas exceptionnel (mauvaise humeur flagrante ou franc besoin de retrouver un peu de sa solitude), Drathir est suffisamment sociable pour passer du temps avec ses camarades autour d’un feu, ne se lassant que lorsque tout le monde est trop bourré et/ou en rut pour continuer à entretenir une conversation potable. D’un point de vue alcool d’ailleurs, si la blonde boit volontiers, elle a appris il y a longtemps à ne jamais être pleinement déchirée et, dans un même soucis de conserver ses capacités, elle est plutôt méfiante quand on lui propose quelque chose à fumer (surtout qu’on est pas à l’abri d’une mauvaise blague).

Je suis ouverte à toute forme de lien !   J’ai toutefois du mal à maintenir des liens négatifs dans la durée, donc soit ils doivent évoluer soit vous êtes parfaitement ok avec l’idée que les rp seront plus ponctuels (car difficile de faire cohabiter des personnages qui se détestent). Je ne prévois aucun lien love à l’avance. Et merci de me contacter avec une ébauche d’idée (au moins pour pointer du doigt ce qui peut être exploitable chez mon personnage comme le vôtre, ou ce que pense votre perso du mien) pour ne pas me laisser tout le boulot 8D

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VIOLETTE Violette était une gosse, ou plutôt une adolescente plus jeune qu’elle et qu’elle aura rencontré très vite après avoir quitté son village natal. Blessée et paumée, Drathir n’aura tout naturellement pas eu le cœur à la laisser là et l’aura embarqué avec elle afin de l’emmener au village le plus proche où elle pourrait se faire soigner. Son bon cœur ayant néanmoins ses limites, elle n’aura pas hésité à balancer la gamine comme un sac à patate sur son cheval qui l’effrayait tant afin de reprendre la route au plus vite, sans se soucier des jérémiades de la tempête sanguinolente qui aurait pu affoler une monture moins docile que la sienne. Comme convenu, elle l’aura laissée aux bons soins d’un soigneur une fois la chaîne de montagnes franchie avant de reprendre sa route, conseillant dans un sourire à la blessée de réfléchir un peu plus à l’avenir vu que cela semblait lui faire défaut. La gamine aura bien grandi, en tout cas, lorsque Drathir la retrouvera en s’engageant au sein de la compagnie. Elle découvrira une femme toujours aussi imprudente mais qui, de par ces souvenirs lointains qui remontaient à la surface chaque fois qu’elle croisait son regard, aura toujours le don de lui faire éprouver une douce nostalgie et la poussera inconsciemment à lui accorder plus d’intérêt et plus de ce bon cœur subtil qu’à d’autres individus de la troupe.
HASAN Hasan est le lieutenant de la compagnie, un poste prestigieux qu’il semble mériter au vu du charisme qu’elle lui concède volontiers. Toutefois, Drathir aura eu l’occasion de constater les doutes et hésitations de l’homme, qui semble un peu trop vouloir être apprécié de tous pour en être capable de prendre les décisions qui s’imposent. Hasan ne tranche pas. Il trouve des compromis avec brio, parvient à mettre les gens d’accord mais son incapacité à prendre des décisions franches (et parfois déplaisantes pour certains) la font parfois douter de lui et de sa capacité à gérer de véritables crises. Si elle aura hésité à le lui signaler de prime abord, peu envieuse qu’elle était de s’attirer les foudres d’un supérieur hiérarchique en mesure de la condamner aux latrines pour plusieurs mois, le sens de la justice du lieutenant et l’appréciation dont il aura fait preuve envers elle de ses capacités ou opinions à l’occasion lui auront largement délié la langue et depuis la blonde n’hésite plus à lever les yeux au ciel ou lui signaler, en privé, comme il devrait se montrer plus ferme dans ses décisions.
MURMURE En tant que maître d’armes de la compagnie, Murmure est celui qui lui aura permis de réellement progresser dague en main. Bien qu’elle ne le lui dira probablement jamais, Drathir respecte cet homme pour sa force guerrière (d’autant plus qu’elle est tranquille et non puérilement ostentatoire) mais elle grince plus volontiers des dents face à sa tendance à accepter les runes sur son corps. Cela ne l’empêche pas de le provoquer allégrement sur sa voix trop subtile, sur sa stupidité pour ne pas avoir voulu améliorer celle-ci au travers des runes qu’il aime tant, et enfin elle peste lorsqu’il lui demande de prendre le relais pour enseigner l’arc aux recrues les plus modestes. Elle s’exécute bien sûr, comme à chaque fois ou presque qu’il est question d’aider au camp, mais à chaque fois elle se demande comment, par toutes les lunes, le maître d’armes est en mesure d’enchaîner les journées d’apprentissage sans vouloir se tailler les veines ou, mieux, celles de ses élèves.
SIR DESBOURG L’intendant, c’est ce petit con avec qui elle aura dû se battre pendant mille ans pour négocier sa dette de départ. Elle n’aura été qu’à moitié satisfaite du résultat, ayant apprécié néanmoins que l’homme s’y connaisse suffisamment en runes pour évaluer à sa juste valeur son carnet arasé contenant l’ensemble de ses découvertes. Passée son aigreur toutefois, elle aura commencé à roucouler auprès de l’homme, polie et avenante (un peu trop pour qu’on imagine une seule seconde que ce soit désintéressé), dans l’espoir de voir sa dette chuter. Que nenni, impossible d’obtenir gain de cause de la sorte mais cela aura finalement fait naître une forme de jeu entre eux. La routine aidant, la blonde aura continué à prendre ses marques au sein de la compagnie en maintenant ses attentions et aujourd’hui encore elle les poursuit en pure taquinerie, sans espoir d’obtenir une quelconque réduction pour autant. Néanmoins, depuis, elle aura constaté avoir le droit à quelques faveurs plus subtiles, comme le fait que son cheval, cédé à la Compagnie à son arrivée, lui est systématiquement réservé lorsqu’elle en a l’utilité. Des détails qui, indéniablement, la poussent à (presque) toujours se montrer polie avec le chevalier des environs.
ROY Roy est un membre récent de la compagnie et Drathir ne se cache pas de s’attacher plus facilement aux nouveaux qu’aux anciens avec qui elle trouve plus difficile de réellement se lier (d’autant plus dans ce cas précis que le brun aura été sacrément utile lors de leur première rencontre). Néanmoins consciente et inquiète des runes de feu de son épée, la blonde aura hésité avant de se décider, découvrant un homme sûrement trop droit et honorable pour être vraiment dangereux pour elle, couplé à un épéiste exceptionnel. Ainsi, durant les quelques entraînements ou défis qu’ils auront pu s’octroyer, la blonde n’aura pas hésité à user de coups de pute, à se faire fourbe et en somme à se servir de chaque moyen à sa disposition pour prendre le dessus sur le bretteur. A sa façon, elle se fera donc formatrice pour cet homme trop bon pour son propre bien, sans jamais hésiter à le taquiner ou le provoquer. Les joutes verbales sont donc régulières, de même que les coups en traite mais cela lui convient parfaitement. En revanche, ces derniers temps, elle apprécie un peu moins de voir son officieux élève progresser et lui donner du fil à retordre pour avoir le dessus durant leurs échanges, quels qu’ils soient.
FOL-OISEL On ne sait rien de la vie de Fol et elle s’en cogne royalement. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’il a suffisamment de bon goût pour apprécier les oiseaux de proie et pour cracher sur les alchimistes, de quoi attirer sa sympathie en un claquement de doigts. Les manières encore un peu bourrées de noblesse de l’homme l’amusent considérablement, la poussant à le provoquer en se faisant au contraire plus vulgaire ou en le dérangeant d’une façon ou d’une autre. Malgré ses provocations, la blonde n’en apprécie pas moins sa compagnie et passe régulièrement du temps avec lui, leurs points communs les poussant à se réunir régulièrement pour effectuer des tâches similaires (chasse, repérage, prendre soin des animaux à l’occasion). Néanmoins, elle ne peut que parfois s’offusquer devant les humeurs de son compagnon. Réservé à son arrivée, il s’est visiblement ouvert à elle pour désormais avoir quelques sautes d’humeur imprévues qui la font grincer des dents. De par leur aversion commune pour les runes, Drathir ne soupçonne pas le fardeau de son camarade et estime pour l’heure que le passé totalement flou du concerné le rattrape d’une façon ou d’une autre. Quand elle ne se dit pas qu’il devrait tout simplement baiser un bon coup pour se détendre.
MAGNUS Magnus est un alchimiste et de ce fait Drathir reste à une sacrée distance de lui au quotidien. Bien qu’il ne semble pas particulièrement méchant, la blonde ne s’offusquant pas pour quelques airs ténébreux et un mutisme potentiellement gênant, il lui est impossible de chercher à se lier à l’homme et elle l’esquive soigneusement au camp, constatant avec soulagement qu’il lui facilite la vie de ce point de vue-là.
(Evolution potentielle en rp : les obliger à se côtoyer dans le cadre d’un repérage, Magnus accompagnant les éclaireurs par curiosité.)
MONTESQUIEU Parfait petit con qui oscille entre une immaturité agaçante lorsqu’il a bu et un comportement purement abject lorsqu’il est sobre, Drathir a néanmoins conscience avoir utilité de ses compétences en herborisme, essentiellement pour ce qui touche à la création de poisons pour enduire ses lames et ses flèches. Si elle choisissait déjà avec soin ses moments pour aborder le jeune sot, c’est pire encore depuis qu’il lui a fait fumer elle ne sait trop quoi, la contraignant à passer la soirée la plus humiliante de sa carrière de mercenaire. Plus rancunière vis-à-vis de cet abus de sa confiance que vis-à-vis de la dégaine qu’elle a pu avoir ce soir-là, elle déteste désormais cordialement le Montesquieu et songe sincèrement à faire cuire à la broche sa fichue poule en guise de représailles. Pour l’heure, elle refuse surtout de toucher à quoi que ce soit qui provienne de ses prétendus camarades, dans le doute, et elle trucide du regard le jeune herboriste en attendant de trouver une occasion de lui faire payer ses audaces.
NYWOE Il serait mentir de dire que Drathir n’a pas remarqué ou apprécié le regard émerveillé et l’attitude bouche bée de la jeune forgeronne à son égard. Si elle ignore le pourquoi d’une telle admiration, la blonde s’en abreuve sans y réfléchir à deux fois, avec d’autant plus d’aisance qu’elle apprécie la jeune femme. Lui confiant volontiers ses armes, elle profite également des tendances taiseuses de sa camarade au travail pour pratiquer sa fabrication de flèches à ses côtés à la forge. Drathir aura également fini par comprendre que Nywoe n’était autre qu’une des rares survivantes (si ce n’est la seule) d’un village du Nord qu’elle aura largement côtoyé avant qu’un massacre n’y soit perpétré, comprenant par là que c’est suite à ce carnage qu’elle aura été adopté par le forgeron des environs. Ce qui explique un peu mieux le côté odieusement protecteur du concerné, qui empêche sa fille de substitution de voir les combats et vu leur récente arrivée dans la forêt de Tollen, ce n’est pas la blonde qui lui donnerait tort vu les dangers qui allaient commencer à les guetter.
(Evolution potentielle en rp : Nywoe qui finit par demander à Drathir de l’accompagner à l’extérieur ; entraînements plus réguliers pour s’assurer qu’elle est prête pour cela ; confidences quant au massacre et quant aux souvenirs de Nywoe sur son village natal et leurs origines plus ou moins similaires)
ALIENOR Aliénor est une membre odieusement récente de la compagnie mais certainement pas la plus utile ou facilement exploitable aux yeux de Drathir. Le temps que la jeune trouve sa voie, elle aura expérimenté plusieurs postes dont celui d’éclaireur, se retrouvant dans le même groupe que celui de la blonde. Cela s’est odieusement mal passé, Aliénor étant purement incapable de se taire, de se faire discrète ou quoi que ce soit de ce genre et ils se seront coltinés un beau bordel à cause d’elle, au point que l’ancienne chasseuse n’aura pu que pester et hurler à travers tout le camp une fois de retour, afin de jurer que si elle n’était pas renvoyée dans les jupes de quelqu’un d’autre, elle la tuerait elle-même pour éviter que d’autres y passent à cause de sa négligence. Drathir n’a donc évidemment pas parié un sou sur le passé de la jeune lancière, se contentant de clamer à qui veut bien l’entendre que la concernée a probablement été virée à coup de pieds au cul de chez elle et de tous les autres endroits qu’elle avait pu côtoyer dans sa vie.
FEU FOLLET Les histoires d’incendies de la jeune femme l’amusent plus qu’autre chose, sauf lorsque les accidents surviennent au camp. Le reste du temps, Drathir profite surtout du statut de cuisinière de la concernée pour tenter de l’amadouer et s’octroyer une part plus conséquente en guise de repas. Cela ne semble pas prendre mais au moins lui fait-on suffisamment confiance pour bel et bien lui confier la pitance de l’Intendant, de quoi l’aider dans son entreprise d’amoindrissement de sa dette. Eléonore étant curieuse, il n’est pas rare non plus de la retrouver lors de ses quelques cours de tir à l’arc ou lorsqu’elle-même tente d’apprendre à fabriquer des flèches. Tout semble attiser l’intérêt de la cuisinière qui n’aura pas trop été impactée par la Compagnie malgré tout, au point de conserver une politesse et un respect instinctif à son égard qui font largement ronronner l’ego de la blonde. Difficile dans ces conditions de ne pas éprouver un peu de sympathie pour la jeunette.